Presse Internationale
* CLASSIQUENPROVENCE, FRANCE
« …Mais la réussite du concert tient surtout à la qualité du chef invité Yeruham Scharovsky,
dont l’énergie communicative, l’attention scrupuleuse portée à chaque musicien, la sensibilité,
la chaleur humaine, la modestie respectueuse avec tous (lors d’un concert précédent, pendant le
bis du soliste, on l’avait aperçu assis discrètement derrière les musiciens), la direction précise
et fine, et la souriante autorité naturelle, ont fait du concert redouté une pleine réussite artistique.
Autant dire que le maestro « transcende » chaque élément hétéroclite du puzzle, et qu’il amène
chacun de ses partenaires à tirer le meilleur de lui-même. Sans bling-bling médiatique, avec la
simplicité tranquille de celui qui croit autant en l’autre qu’en lui-même : c’est à cela qu’on reconnaît
un « grand » chef. Ce sont aussi les grands chefs - permanents de préférence - qui font les grands orchestres... »
* MANCHETE, BRESIL
"... Le public a immédiatement senti que se présentait devant eux un directeur «né», doté d'un contrôle extraordinaire
sur l'ensemble symphonique, d'un grand magnétisme personnel et d'une grande musicalité.
Possédant une technique brillante et une mémoire extraordinaire, Maestro Scharovsky est une personnalité fascinante ... "
* YEDIOT AHARONOT, ISRAEL
"... L'Orchestre philharmonique d'Israël dirigé par le chef Yeruham Scharovsky nous offre un Mendelsshon lyrique,
impressionnant et convaincant. Sans doute, c'était la soirée du Maestro Scharovsky ... "
* LA MARSEILLAISE, FRANCE
" …L’alternance entre parties symphoniques et pièces vocales, que je redoutais un peu, se révéla finalement assez heureuse.
La parfaite complicité de travail et de sensibilité qui unit les musiciens de l’orchestre et le chef Yeruham Scharovsky,
donne un rendu homogène, fluide, coloré, vivant : chaque instrument a sa place idéale – le chef sait donner la parole à chacun,
distribuer les phrases et les solos -, et l’ensemble, du coup, « sonne » avec brio et justesse. La réussite de ce concert tient à la
qualité des interprètes, mais plus encore au respect mutuel (chef, orchestre, soliste) et au plaisir évident de construire ensemble
cette palette d’un soir... "
* CLARIN, ARGENTINE
"...Sous les mains du Maestro Scharovsky, la Mer de Debussy a atteint le niveau de force et de transparence qu’exige cette
oeuvre extraordinaire. Yeruham Scharovsky profond, sobre et précis doit revenir. C'est le style de directeur qui conviendrai
parfaitement à l'Orchestre Symphonique National .... "
* LA PROVENCE, FRANCE
" …Pour accompagner la mezzo, l’Orchestre lyrique régional Avignon Provence était conduit
par Yeruham Scharovsky. Pour la symphonie no 32 et l'ouverture de Cosi fan Tutte, il a donné
l'occasion à la formation vauclusienne de mettre en valeur ses belles couleurs et la
la chaleur de ses cordes. Una voce poco Fa pour entonner cet épisode rossinien de l'Italienne
à Alger et du Barbier de Séville livrées avec allant et dynamisme par un OLRAP prenant visiblement
du plaisir à travailler sous la baguette du Maître Scharovsky… "
* HUVUDSBLADET, FINLANDE
"... L'Orchestre de l'Opéra National de Finlande sous direction du Maestro israélo-argentin Yeruham Scharovsky,
a joué la musique imagée de Prokofiev avec une incroyable subtilité de nuances. Il faut l'admettre :
Un tel niveau de performance n'avait jamais été entendu à ce stade ... "
* CLASSIQUENPROVENCE, France
« …C’est peu de dire que le chef a dominé, a illuminé la soirée. A mains nues ou avec baguette, sa direction est déterminante,
mais toujours légère, comme si l’orchestre avançait tout seul : du grand art ! Mains ouvertes, bras arrondis comme pour
embrasser l’univers, mimant le menuet, souriant, discrètement facétieux parfois, le maestro a été généreux, fin, élégant,
somptueux in fine. Imagine-t-on aisément un chef s’effaçant devant le soliste, s’asseyant en toute simplicité sur un coin
d’estrade, en fond de scène, au milieu de ses musiciens, et déclinant le siège que l’un d’eux lui offrait ? La Symphonie de Haydn,
dirigée de mémoire, s’est inscrite comme le grand bonheur de la soirée, le 4e mouvement étant offert en bis après une dizaine de
minutes d’applaudissements soutenus… »
* CLASSIQUENPROVENCE, FRANCE
« …Mais la réussite du concert tient surtout à la qualité du chef invité Yeruham Scharovsky,
dont l’énergie communicative, l’attention scrupuleuse portée à chaque musicien, la sensibilité,
la chaleur humaine, la modestie respectueuse avec tous (lors d’un concert précédent, pendant le
bis du soliste, on l’avait aperçu assis discrètement derrière les musiciens), la direction précise
et fine, et la souriante autorité naturelle, ont fait du concert redouté une pleine réussite artistique.
Autant dire que le maestro « transcende » chaque élément hétéroclite du puzzle, et qu’il amène
chacun de ses partenaires à tirer le meilleur de lui-même. Sans bling-bling médiatique, avec la
simplicité tranquille de celui qui croit autant en l’autre qu’en lui-même : c’est à cela qu’on reconnaît
un « grand » chef. Ce sont aussi les grands chefs - permanents de préférence - qui font les grands orchestres... »
* MANCHETE, BRESIL
"... Le public a immédiatement senti que se présentait devant eux un directeur «né», doté d'un contrôle extraordinaire
sur l'ensemble symphonique, d'un grand magnétisme personnel et d'une grande musicalité.
Possédant une technique brillante et une mémoire extraordinaire, Maestro Scharovsky est une personnalité fascinante ... "
* YEDIOT AHARONOT, ISRAEL
"... L'Orchestre philharmonique d'Israël dirigé par le chef Yeruham Scharovsky nous offre un Mendelsshon lyrique,
impressionnant et convaincant. Sans doute, c'était la soirée du Maestro Scharovsky ... "
* LA MARSEILLAISE, FRANCE
" …L’alternance entre parties symphoniques et pièces vocales, que je redoutais un peu, se révéla finalement assez heureuse.
La parfaite complicité de travail et de sensibilité qui unit les musiciens de l’orchestre et le chef Yeruham Scharovsky,
donne un rendu homogène, fluide, coloré, vivant : chaque instrument a sa place idéale – le chef sait donner la parole à chacun,
distribuer les phrases et les solos -, et l’ensemble, du coup, « sonne » avec brio et justesse. La réussite de ce concert tient à la
qualité des interprètes, mais plus encore au respect mutuel (chef, orchestre, soliste) et au plaisir évident de construire ensemble
cette palette d’un soir... "
* CLARIN, ARGENTINE
"...Sous les mains du Maestro Scharovsky, la Mer de Debussy a atteint le niveau de force et de transparence qu’exige cette
oeuvre extraordinaire. Yeruham Scharovsky profond, sobre et précis doit revenir. C'est le style de directeur qui conviendrai
parfaitement à l'Orchestre Symphonique National .... "
* LA PROVENCE, FRANCE
" …Pour accompagner la mezzo, l’Orchestre lyrique régional Avignon Provence était conduit
par Yeruham Scharovsky. Pour la symphonie no 32 et l'ouverture de Cosi fan Tutte, il a donné
l'occasion à la formation vauclusienne de mettre en valeur ses belles couleurs et la
la chaleur de ses cordes. Una voce poco Fa pour entonner cet épisode rossinien de l'Italienne
à Alger et du Barbier de Séville livrées avec allant et dynamisme par un OLRAP prenant visiblement
du plaisir à travailler sous la baguette du Maître Scharovsky… "
* HUVUDSBLADET, FINLANDE
"... L'Orchestre de l'Opéra National de Finlande sous direction du Maestro israélo-argentin Yeruham Scharovsky,
a joué la musique imagée de Prokofiev avec une incroyable subtilité de nuances. Il faut l'admettre :
Un tel niveau de performance n'avait jamais été entendu à ce stade ... "
* CLASSIQUENPROVENCE, France
« …C’est peu de dire que le chef a dominé, a illuminé la soirée. A mains nues ou avec baguette, sa direction est déterminante,
mais toujours légère, comme si l’orchestre avançait tout seul : du grand art ! Mains ouvertes, bras arrondis comme pour
embrasser l’univers, mimant le menuet, souriant, discrètement facétieux parfois, le maestro a été généreux, fin, élégant,
somptueux in fine. Imagine-t-on aisément un chef s’effaçant devant le soliste, s’asseyant en toute simplicité sur un coin
d’estrade, en fond de scène, au milieu de ses musiciens, et déclinant le siège que l’un d’eux lui offrait ? La Symphonie de Haydn,
dirigée de mémoire, s’est inscrite comme le grand bonheur de la soirée, le 4e mouvement étant offert en bis après une dizaine de
minutes d’applaudissements soutenus… »